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L'iconoclaste paraîtra le 2 mai prochain...

Mon dernier projet de livre a trouvé son éditeur : Les Editions du Pacifique. Un œil sur le monde est devenu L'iconoclaste et paraîtra le 2 mai prochain. Illustré par les magnifiques photographies d'Auguste François, mon récit dresse le portrait d'un homme assurément complexe, souvent attachant, parfois irritant. Un personnage comme je les aime, qui m'a permis de voyager dans une époque épique, entre l'Indochine, le Paraguay, le Paris de la Belle Epoque et, surtout, la Chine entre 1896 et 1904.

Le livre est en pré-commande ici ou mieux, dans votre librairie de quartier.

Une soirée de présentation du livre, point de départ d'une exposition de photographies, aura lieu le 6 mai 2014 aux Editions du Pacifique. Venez nombreux! Pour toute information: www.leseditionsdupacifique.com

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Le pitch : 

Lorsque, le 6 février 1886, Auguste François embarque à bord du Melbourne, il ignore encore que son existence va basculer. Durant les deux décennies qui s’annoncent, ce consul promis à une belle carrière va parcourir le monde au pas cadencé, menant une vie de diplomate-vagabond, s’improvisant explorateur pour la Société de géographie, armé de son inséparable appareil-photo et de son caractère bien trempé. Misanthrope plus à l’aise en forêt qu’en société, curieux des peuples qu’il rencontre et hostile aux intrigants de tous bords, il ne tardera pas à payer le prix d’une intransigeance maladive, parfois coupable. En Indochine, il fausse compagnie à Paul Bert, ancien ministre et nouveau Résident général, pour s’enfoncer dans le pays au contact des redoutés Pavillons noirs et découvrir les mystérieux Muongs. Le temps d’un intermède dans le Paris de la Belle Époque et le voici en route pour le Paraguay où il contribuera à faire évacuer plusieurs centaines de colons français retenus en otage par le gouvernement d’Assomption. Et puis ce sera la Chine, à la lisière du siècle, entre 1896 et 1904. C’est véritablement dans l’Empire du Milieu qu’il donnera la pleine mesure de son tempérament. Là il s’opposera à Paul Doumer, tout puissant gouverneur de l’Indochine et futur président de la République, bien décidé à construire le chemin de fer du Yunnan, au risque d’une guerre avec la Chine. Là il soutiendra un siège de 14 jours dans son consulat pour sauver la vie de ses compatriotes. Et là encore, il réalisera des expéditions inédites qui lui permettront de remplir des cartes jusqu’alors vierges.

 

« Pour moi, l’idéal consiste à vivre à ma guise, et à ne pas m’enliser dans la banalité. Vivre d’action, et puis, le moment venu, souffler ma chandelle en souhaitant le bonsoir à la compagnie. » De ce serment, Auguste François aura fait sa vie.

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